Et même si je voulais tirer un trait sur R. Ce n’est pas forcemment la bonne solution. R fait partie où du moins, a fait partir de ma vie et je ne peux pas l’effacer. Il y aura toujours quelque chose qui me fera penser à lui. C’est comme Blue. Comme Shirley. Comme Bambou. Ces personnes ont étés là, par le passé, et ont contribué à ma vie de maintenant.
J’ai relus certains écrits, j’ai chialé, par nostalgie pour quelques uns, et par pitié pour d’autre. Enfaite j’ai surtout pleuré quand je me suis lus en septembre, j’étais tombé bien bas. A cause d’un enfoiré de première catégorie. La haine avait réussis à se dissiper un minimum, on réussissait même à se parler sans se remballer, sans hausser la voix, mais en relisant ces écrits là, elle est à nouveau bien là. Je le déteste. Je le méprise. Je ne lui souhaite rien de bon. Ça fait garce de dire ça je sais mais c’est comme ça. Il l’a bien cherché.
Noyau de merde.
]]>Enfaite je sais surtout de quoi j’ai peur, j’ai peur de ne plus être lus, j’ai peur qu’on écrive plus sur mon forum. C’est surtout de ça que j’ai peur. Mais tellement de chose ont changés depuis le 11 novembre 2011, premier jour de ce journal. J’étais jeune, naïve, et… J’étais une autre en quelque sorte, maintenant dans un peu plus d’un moi, j’ai 18ans, je suis sur le point de connaître un grand changement avec Patou et… Je n’ai plus la même vision des choses, ni les mêmes pensées. J’ai grandis. Mûris.
Je ne fermerai pas définitivement mon journal, je le mettrai entre parenthèse. Et je reviendrai, dans 2 ans, peut-être 3, pour faire le point. Pour me relire et pour m’apercevoir que vraiment tout à changé…
Mais toujours cette fichu peur, qu’on oublie M. Alors qu’elle sera toujours là, mais autrement.
Je me sens incroyablement ridicule.
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Fatiguée fatiguée.
Je pourrai dormir un moi non stop. Sans me réveiller.
Putain le rêve.
(C’est le cas de le dire)
J’ai même probablement trouvé un job pour les vacances qui arrivent, en centre aéré, la dame doit me rappeler demain après les cours. C’est dans un village juste à côté du mien, donc je pourrai même y aller en vélo. J’espère que ça se fera. Bon je m’attends pas à gagner énormément sachant que je ne suis pas titulaire du BAFA mais ce sera déjà pas mal.
J’ai des nouvelles de Patou. Mais cet écrit ne parlera pas de mec. C’est mort.
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Il faut vraiment que je me dise que tout était éphémère, que je ne le reverrai probablement jamais, que j’étais, pour lui, une fille parmi tant d’autre. Je crève d’envie de lui faire un message.
"Patou.. Tu avais raison, je ne peux pas jouer, je ne suis probablement pas faite pour ça. Tu avais raison de mettre certaines barrières, cependant peut-être que pour toi ça a marché mais pas pour moi. Je ne cesse de penser à toi. A cette nuit passée à tes côtés, peut-être que pour toi ça ne représentais rien, mais putain pour moi si. C’est la première fois que je vais si loin avec un garçon, et c’est pour cette raison que je risque de me souvenir de toi encore longtemps. Je veux juste savoir si tu as sentis mon odeur sur ton lit quand tu t’es allongé vendredi soir, je veux savoir si tu as pensé à moi durant la semaine, rien qu’une fois. Je veux juste savoir. Non enfaite je crève d’envie de te revoir. Une dernière fois.. "
Mais c’est trop gnan gnan. Je n’enverrai jamais. C’est pas moi.
]]>R et sa copine. Sa copine tellement sublime, sur la photo elle a l’air assise sur ses genoux, il a la tête sur son épaule. Elle est belle je trouve la photo, ils vont bien ensemble tous les deux. "Baby I’m yours." qu’elle a marqué comme description. C’est une jolie photo pour un jolie couple heureux.
Baliverne.
Enfaite j’ai chialé quand je l’ai vu la photo, je suis contente pour lui vraiment, mais ça me fait mal. Ça me fait mal que moi je galère avec les mecs, ça me fait mal de savoir que je me fais prendre pour une conne et qu’encore j’en redemande.
Je veux être à sa place, je veux moi aussi une photo avec R. Moi aussi je veux qu’on écrive "Moi plus" sur mon mur. Moi aussi je veux être sur ses genoux. Moi aussi je veux être belle comme elle. Je le veux, et ça me fait putain de mal de savoir que je lui manque pas. R… mon petit R. Avec ta tache dans l’œil, avec ton parfum de fou, avec ta veste kaki que j’aimais bien te voler. Je me souviens d’une fois où tu me l’avais passé pour toute une après-midi.
J’avais l’air ridicule avec ta veste sur le dos trois fois trop grande, mais j’aimais bien. J’étais partie en bio toute souriante, j’avais ta veste et le reste ne m’importait plus.
J’ai mit quand même pas mal de temps à redescendre de cette planète. Et malgré ce qui c’est passé avec lui lors de ma visite dans mon ancien lycée je me pense guéris. Je sais pas si le revoir déclenchera quelque chose comme toutes ces autres fois, je pense un petit pincement au coeur peut-être mais pas autant qu’avant. Je lui souhaite beaucoup de bonheur avec sa nouvelle copine. Et je le pense. Il n’avait rien cherché lui quand on y réfléchis…
Pour Patou je sais pas ce que nous réserve la suite, je commence à croire que j’aimerai que ce soit sérieux mais d’un autre côté, quand on se voient c’est comme si on était en couple sauf que rien est officiel. Et puis, une relation sans prise de tête c’est pas plus mal.
Même si je me connais, même si je sais très bien comment vont se dérouler les choses. Je vais finir par m’attacher parce que je n’arrive pas à mettre de barrière psychologique, lui ne le sera pas. Il s’éloignera et fin de l’histoire. Encore une fois j’aurai fais l’erreur d’être naïve, encore une fois j’aurai fais l’erreur de laisser mes sentiments prendrent le dessus. Encore une fois, j’aurai été trop conne.
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Donc je l’avais écris lors de mon précédent écrit, j’étais censé rejoindre Patou chez lui une heure plus tôt que les autres. Mais c’est vers 13h que Zadig m’a appelé. Proposant que sa mère la dépose pour qu’on se prépare ensemble et qu’on partent toutes les deux. Le plan est alors tombé à l’eau.
"Tant pis on s’arrangera dans la soirée pour s’isoler haha" qu’il m’avait dit.
On est tout de même arrivé les premières chez lui, et je dois dire que j’étais plutôt anxieuse. Je savais qu’il se passerait quelque chose, mais quand comment où ?
A un moment, Patou nous faisait visiter et je mettrais ma main à couper que Zadig a fait exprès de nous laisser seuls. C’est donc entre deux portes et en coup de vent qu’il m’a embrassé, tendrement et sauvagement comme Nouvel An. Parfois quand il était derrière moi il me caressait les fesses.
Les invités sont progressivement arrivés, comme toutes les autres fois je me sentais un peu à part au début. J’ai bu, et je tournais autour de Patou. Vers 22heures je suis montée prendre mon sirop Zadig et Parou m’ont suivit.
Zadig nous a laissé, et il n’a pas fallut de temps pour qu’on se jette l’un sur l’autre. On était debout contre l’armoire et nos baisers étaient de plus en plus intense. J’avais la main dans son boxer, lui dans ma culotte et autant dire qu’on était dans une position des plus confortable. Alors on a voulu aller dans sa chambre à lui, mais Zadig et son pompier y était déjà. Patou c’est installé à la batterie et à commencé à jouer. Je l’ai regardé avant de me mettre sur un tabouret derrière lui pour lui faire des papouilles. Zadig faisait la même chose à son pompier. Et on papotait comme ça. Je crois d’ailleurs qu’on est bien resté une heure ainsi. Patou avait opté pour la guitare et nous jouait un air calme. Je mettais de temps en temps ma tête contre son dos. Comme pour dire "Je suis là "
On a finit par rejoindre les autres, j’étais bien, Zadig était la pire, mais elle a finit par emballer son pompier.
Vers 4h j’étais assise aux pieds de Ho et je me sentais clairement partir, je fatiguais. Patou est arrivé et a dit en me fixant : " Bon moi les gens je vais aller me coucher dans ma chambre. "
J’ai eu du mal à comprendre mais deux minutes après qu’il soit partit je l’ai rejoins.
On jouait avec des peluches, et on a finit par s’embrasser. J’ai ouvert son pantalon laissant sa main guider la mienne. Je dois dire que c’était plutôt sauvage.
Il a entré ses doigts en moi délicatement tout de même. Je dois dire aussi que c’était drôle parce qu’on entendait les autres en bas rigoler. Je le sentais vraiment excité alors j’en ai joué. Je me choque à écrire ça mais l’entendre dire d’y aller plus vite me rendais dingue..
Puis quelqu’un est entré.. Je crois que le gars ne s’est même pas rendus compte qu’il dérangeait.
On a pas été jusqu’au bout, on aurait pu mais sa capotte était dans le salon.
Il a finit par me prendre dans ses bras, par me dire que je ne devais pas m’attacher, qu’il fallait pas. Il me caressait les cheveux en même temps, moi je caressais son ventre.
"J’ai vraiment envie de toi "
J’ai tressaillis
Baisers caresses etreinde, tout était calculé pour me faire fondre, tour étais rythmé par l’envie et l’excitation.
Je le voulais, je voulais faire ma première fois avec lui là maintenant. On entendais plus de bruit, tout le monde dormait.
De nouveau des câlins, mais cette fois de personne normalement amoureuse. Il avait son bras sous ma tête j’avais le mien autour de lui, nos pieds se touchaient s’entrechoquaient.
"Ça va?
-Oui
-Tu as froid?
-Non, je suis bien"
Il se souciait de comment j’étais.
On c’est endormis comme ça enfin, on a pas dormit. On a parlé des cours, de choses et d’autres. On a fait connaissance quoi, plus connaissance je veux dire.
Papa est venu me chercher et a mit fin.
Patou m’a fait la bise, lentement comme pour profiter de chaque instant.
J’ai encore les lèvres gercées, j’ai un peu mal à l’entre jambe (Il y allait fort parfois) mais le mieux. C’est qu’il a laissé son putain de parfum.
Est-ce que je m’attache ? Franchement j’en sais rien. Dans la nuit de lundi à mardi je n’ai dormis qu’une heure, alors à minuit je lui ai envoyé un SMS de bon anniversaire. Il m’a répondu avec un coeur, et il m’en mets de plus en plus. Et il m’a proposé pour samedi, alors moi je réfléchis pas, je me laisse porter. Même si je lui au envoyé ce matin que c’était bon que j’arriverai vers 17:30 et que je n’ai toujours pas de réponse.
Je ne cesse de me répéter qu’il me veut que pour la baise, au fond, je suis jeune je lui plais, il me plaît. Alors au diable les paroles "Je veux faire ma première fois après plus d’un an de relation"
L’essentiel est de se sentir prête et je me sens prête.
Ça fait peur…
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Au final Ho avait mentit. Rien n’était vrai. Et je venais tout juste de rendre Patou mal en lui demandant si c’était bien vrai que son ex l’avait lâché pour un autre. Sur le coup j’ai pas trop compris l’embrouille. Mais je cherche pas vraiment à comprendre.
J’arrête pas de penser à lui, j’arrête pas. Je ne cesse de me dire qu’il y a de grandes chances que la semaine prochaine il se passe quelque, je sais pas si j’irai jusqu’au bout, mais il veut que je dorme avec lui. Ça me fait tout bizarre.
Bon apart ça j’ai passé tout mon WE à bosser, je suis fatiguée intérieurement c’est horrible. Je pensais vraiment me reposer après mon bac blanc de mercredi, mais impossible, j’ai une épreuve de 2heures d’Economie mardi matin, je ne dois absolument pas la rater car elle va jouer ma moyenne. Et si je veux prouver à papa et maman que je peux réussir mon année tout en m’amusant un minimum je dois rien lâcher. J’ai même pensé à m’inscrire en soutient math le jeudi et vendredi. J’aurai des heures en plus mais peu m’importe.
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J’ai dis à Patou que ça ne devrait pas poser de problème (baliverne) que je pourrais même rentrer chez moi le soir car il habite à seulement 20minutes en TED. "Tu peux toujours dodo à la maison"
Oh boy.
"C’est ce que tu veux?"
-Ce que je veux c’est l’oublier
-Alors je te la ferai oublier"
On parlait, il me faisait rougir, tellement mon Dieu.
J’ai finis par lui proposer qu’on se voit aujourd’hui même, car moi aussi j’avais besoin de me changer les idées.
Il m’a fait poiroter, a finit par m’envoyer hier qu’il pensait venir. Je lui ai très bien fait comprendre qu’on ne coucherai pas ensemble. Je lui ai dis qu’on irait chez moi, qu’on serait tout seul. "On sera tout seule toute l’aprem?"
- Quasiment oui "
Et je n’ai plus eu de réponse.
J’ai craqué ce matin alors "Pas de nouvelle. J’en conclus que tu ne viendras pas. Trop bonne trop conne. C’est pas grave j’ai l’habitude. Sans rancune."
Il m’a dit qu’il avait pas envie aujourd’hui. Qu’il était vraiment désolé.
" Dis moi la vérité, si tu ne viens pas c’est parce que je t’ai dis que je ne coucherai pas encore avec toi "
Il a démentit mais je sais que c’est ça.
Pauvre conne que tu fais M.
Bon à part ça j’ai entretenu une grande conversation avec maman. Etcça va mieux. Elle accepte même que j’aille à la soirée de samedi pro. Enfin d’ici qu’elle change d’avis…
Et j’ai faillis me battre avec Noyau. Mais ça, c’est une autre histoire..
]]>Mais la c’est la troisième guerre mondiale, ils ne veulent plus me déposer nul part, alors que j’ai essayé de faire comprendre à maman que j’allais sortir comme ça encore pas mal de fois, car Zadig part à l’autre bout de la France en été et je veux profiter d’elle tant que je le peux encore. J’ai beau trouver tous les arguments possibles mais ils ne craquent pas. Je pète un câble c’est juste horrible. Je n’ai qu’une envie, c’est de fuite, loin, loin d’eux, loin des cours, loin de Noyau qui a recommencé à m’afficher sur Twitter "M. le cachalot", juste loin, je n’embarque rien avec moi.
Je veux rejoindre Everybody, je veux partir, je craque.
Le pire c’est de savoir qu’ils n’ont pas confiance en moi, maman me sort que c’est pour me protéger. Mais je n’ai pas besoin d’elle et encore moins de ses pseudos règles.
Je veux n’en faire qu’a ma tête.
Je les déteste, tous.
Je veux juste Patou…
Bref la soirée c’est déroulé, et je sentais les regards de plus en plus long de Patou, je me sentais rougir aussi. Je me sentais lui courir après, lors de la partie de billard, je me souviens avoir atteris à un moment derrière lui, je l’entends encore me dire "Tu veux jouer avec ma queue?"
J’avais ris, mon Dieu ce que j’avais ris.
Puis nous nous sommes rassis, puis j’ai finis à côté de lui, il avait perdus un bras de fer, alors il a voulut en faire un contre moi. Grosse erreur de l’avoir battut. "J’étais mal installé "
Je le vois encore se mettre en face de moi, je ressens cette pulsion qui a monté d’un coup. Je sens sa main contre la mienne, la force dont j’ai fais preuve, ses pieds frottant les miens, son regards plongé dans le mien. Nos bras se baisser, sa main sur la mienne.
Bien entendu, j’avais perdus les autres parties.
1h30. La maman de Zadig nous avait dit 23h. Tant pis.
Patou qui se propose pour nous déposer. Je me vois monter à l’arrière, la première chose que je me suis dite c’est "Effectivement la banquette est confortable." J’ai honte !
Rien que de le regarder conduire, ça déclencher quelque chose de super fort et intense en moi, je savais même pas que ça existait… De temps en temps, il lançait des regards dans le rétro en ma direction. Et on est arrivé, et il a fallut descendre de la voiture.
Belle nuit de rêves qui a suivit…
On a beaucoup parlé le dimanche. De nouveau ses avances qui me font autant craquer que ralentir "Avoue t’aurais voulus que je sois derrière dans la voiture avec toi " Si tu savais bordel…
Il a dit à Zadig que s’il y avait de la place, je serai la bienvenue chez lui pour son anniversaiemre, mais vu l’ambiance tendu à la maison, ça m’étonnerait que maman accepte.
]]>Eux foutent le bordel, n’écoutent pas, parlent fort, alors que merde pendant les deux ans qui suivent on va avoir ce fichu bac à la fin de l’année et on ne peut pas se permettrent de pas écouter, de prendre autant de retard. Mais bon faut croire que je suis la seule à penser ça.
Petit pettage de plomb je l’accorde, mais je sais pas, je craque. Je pleure pas, ça fait quelques temps que je ne pleure plus au passage, mais là j’en ai marre, de tout, de vraiment tout, plus rien ne me donne envie. Je ne prends même plus la peine de prendre des nouvelles de Zadig où de Aean parce que je n’ai pas envie de parler, il n’y a aucune raison à ce changement de comportement, c’est juste que je n’ai pas envie de faire exprès, où du moins plus envie.
J’en suis mêle venue à reparler à Tommy hier, à nouveau des messages chaud, à nouveau, alors qu’au fond j’en ai toujours eu honte. Mais Patou me manque bordel c’est insupportable. Ce matin quand mon réveil a sonné a 6h précis ma première pensée a été : " Il y a une semaine, heure pour heure, jour pour jour, tu étais dans les bras de Patou, tu goutais à ses lèvres, à sa langue, il y a une semaine, tu étais bien, tu étais bien... " J’en viens à me dire que je pourrai tomber amoureuse, pas forcément de Patou, mis de ce moment, ce moment de tendresse sauvage, ce moment qui me donne à chaque fois les mêmes frissons quand j’y repense, toujours les mêmes sensations. J’ai peur d’oublier, alors à chaque fois je relis mon écrit, un sourire en coin, et mes pensées reviennent. La sensation de sa main qui palpe mon sein, la sensation de sa langue collée à la mienne, de l’odeur de son parfum qui chatouille mon nez, de ma main sur son sexe…
Je crois qu’inconsciemment je n’ai jamais quitté cette soirée, mon esprit y est toujours mon corps est là c’est sur, mais pas mon esprit. Il est toujours dans les bras de Patou lui…
]]>Je sais pas à quoi je joue. Je me reconnais pas. Je fais de la merde.
]]>Je t’en pris mémé‚ reste avec moi reste avec nous je t’en supplie. Je vous en pris Dieu‚ ne me la prenait pas pas maintenant pas comme ça. Laissez la moi, j’ai encore besoin d’elle.
Mémé je ne suis pas prête à te laisser partir vraiment. Je t’en pris mémé…
Je ne te l’ai jamais dis. Jamais. Mais je t’aime.
]]>Bonne année à tous ! Pleins de bonnes choses <3
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