Arrête de croire n'importe quoi n'importe quand.
J’ai été conne de croire qu’en changeant de journal je changerai en quelque sorte de vie et j’effacerai ce qui a pus se produire par le passé. Je suis beaucoup trop attachée à ce journal là, beaucoup trop. J’y ai écris beaucoup de choses que je ne regrette pas. Il y a eu des hauts, des bas, bon OK beaucoup de bas. Mais je sais pas, j’y suis attachée. C’est grâce à ce journal là que j’ai rencontré Everybody, Aloha et j’en loupe.
Et même si je voulais tirer un trait sur R. Ce n’est pas forcemment la bonne solution. R fait partie où du moins, a fait partir de ma vie et je ne peux pas l’effacer. Il y aura toujours quelque chose qui me fera penser à lui. C’est comme Blue. Comme Shirley. Comme Bambou. Ces personnes ont étés là, par le passé, et ont contribué à ma vie de maintenant.
J’ai relus certains écrits, j’ai chialé, par nostalgie pour quelques uns, et par pitié pour d’autre. Enfaite j’ai surtout pleuré quand je me suis lus en septembre, j’étais tombé bien bas. A cause d’un enfoiré de première catégorie. La haine avait réussis à se dissiper un minimum, on réussissait même à se parler sans se remballer, sans hausser la voix, mais en relisant ces écrits là, elle est à nouveau bien là. Je le déteste. Je le méprise. Je ne lui souhaite rien de bon. Ça fait garce de dire ça je sais mais c’est comme ça. Il l’a bien cherché.
Noyau de merde.