"Je t'aime plus que ma propre vie". "Plus que ma propre vie ?" "Cap !"

Explication..

On c’est disputé, et encore une fois, j’ai dis des choses affreuses que je ne pensais pas. Je voulais l’ordinateur, pour parler à Bambou, j’avais envie d’entendre sa voix, et Bidule ne voulait pas me le donner.

Alors je suis descendu, et j’en ai foutus pleins la gueule à maman, j’ai dis des choses horribles, je sentais mes membres se serrer, mes muscles se contracter, j’étais en colère, et totalement posséder par mon autre moi. Je crachais, méchanceté sur méchanceté, sans pouvoir me retenir. Alors pour arrêter tout ça, pour me calmer particulièrement, je suis monter, en cognant le mur avec mon poing droit, d’une intensité phénoménale, puis je suis arrivée dans ma chambre, j’ai pris la lampe de chevet, un cadeau de Noël, je l’ai lancé, avec force, l’ampoule c’est cassée, en mille morceaux. Je me suis assise sur mon lit, retours à la réalité, retours à la normal : " C’est moi, bordel c’est moi qui ai fait ça, je suis quelqu’un d’horrible "
J’ai pleuré, avant de m’assoire par terre, de continuer de pleurer en ramassant les morceaux de verres.
Et là, j’en ai pris un, larmes coulantes.
Je me suis coupé la jambes. Une fois. Boum. Deux fois. Boum. Trois fois. Boum. J’ai ressentis un picotement, j’avais mal, ça saigné, beaucoup. Puis mon poignet, je pleurais toujours, mais je commençais lentement à me calmer, je me suis coupé encore, plusieurs fois, j’attendais et regardais le sang couler, en me demandant ce que je devenais. J’ai étais dans la salle de bain, et routine habituelle. Boum.
J’ai passé tout sous l’eau, désinfecter. Enfiler un gilet, un pantalon, ni vu ni connu. Je suis descendus, visage et yeux gonflés. Maman devait penser que j’avais juste pleurer, si elle savait.
Elle a criait à Bidule de me donner le PC. Je voulais même plus me connecter, hors de question que Bambou m’entende parler. Puis finalement, je l’ai vu, connecté.
Boum.
Tout était oublié.
Mais ça c’est quand même passé.