"Je t'aime plus que ma propre vie". "Plus que ma propre vie ?" "Cap !"

J'aurai voulus que l'temps s'arrête..

Je suis obligée de laisser une trace écrite de tout ça. Obligé de raconter. J’en ai encore un sourire niais, un sourire tellement débile que je pourrai me moquer de moi-même. Un sourire tellement con et ridicule mais ce sourire est là malgré la fatigue malgré toutes les petites choses qui en temps normal font bien chier.
Je m’aperçois à me renifler, je sens son parfum, sur tout mon corps. One Million, ce parfum qui m’avait déjà fait fondre à Nouvel an.

Donc je l’avais écris lors de mon précédent écrit, j’étais censé rejoindre Patou chez lui une heure plus tôt que les autres. Mais c’est vers 13h que Zadig m’a appelé. Proposant que sa mère la dépose pour qu’on se prépare ensemble et qu’on partent toutes les deux. Le plan est alors tombé à l’eau.
"Tant pis on s’arrangera dans la soirée pour s’isoler haha" qu’il m’avait dit.
On est tout de même arrivé les premières chez lui, et je dois dire que j’étais plutôt anxieuse. Je savais qu’il se passerait quelque chose, mais quand comment où ?
A un moment, Patou nous faisait visiter et je mettrais ma main à couper que Zadig a fait exprès de nous laisser seuls. C’est donc entre deux portes et en coup de vent qu’il m’a embrassé, tendrement et sauvagement comme Nouvel An. Parfois quand il était derrière moi il me caressait les fesses.

Les invités sont progressivement arrivés, comme toutes les autres fois je me sentais un peu à part au début. J’ai bu, et je tournais autour de Patou. Vers 22heures je suis montée prendre mon sirop Zadig et Parou m’ont suivit.
Zadig nous a laissé, et il n’a pas fallut de temps pour qu’on se jette l’un sur l’autre. On était debout contre l’armoire et nos baisers étaient de plus en plus intense. J’avais la main dans son boxer, lui dans ma culotte et autant dire qu’on était dans une position des plus confortable. Alors on a voulu aller dans sa chambre à lui, mais Zadig et son pompier y était déjà. Patou c’est installé à la batterie et à commencé à jouer. Je l’ai regardé avant de me mettre sur un tabouret derrière lui pour lui faire des papouilles. Zadig faisait la même chose à son pompier. Et on papotait comme ça. Je crois d’ailleurs qu’on est bien resté une heure ainsi. Patou avait opté pour la guitare et nous jouait un air calme. Je mettais de temps en temps ma tête contre son dos. Comme pour dire "Je suis là "

On a finit par rejoindre les autres, j’étais bien, Zadig était la pire, mais elle a finit par emballer son pompier.

Vers 4h j’étais assise aux pieds de Ho et je me sentais clairement partir, je fatiguais. Patou est arrivé et a dit en me fixant : " Bon moi les gens je vais aller me coucher dans ma chambre. "
J’ai eu du mal à comprendre mais deux minutes après qu’il soit partit je l’ai rejoins.
On jouait avec des peluches, et on a finit par s’embrasser. J’ai ouvert son pantalon laissant sa main guider la mienne. Je dois dire que c’était plutôt sauvage.
Il a entré ses doigts en moi délicatement tout de même. Je dois dire aussi que c’était drôle parce qu’on entendait les autres en bas rigoler. Je le sentais vraiment excité alors j’en ai joué. Je me choque à écrire ça mais l’entendre dire d’y aller plus vite me rendais dingue..
Puis quelqu’un est entré.. Je crois que le gars ne s’est même pas rendus compte qu’il dérangeait.
On a pas été jusqu’au bout, on aurait pu mais sa capotte était dans le salon.

Il a finit par me prendre dans ses bras, par me dire que je ne devais pas m’attacher, qu’il fallait pas. Il me caressait les cheveux en même temps, moi je caressais son ventre.
"J’ai vraiment envie de toi "
J’ai tressaillis
Baisers caresses etreinde, tout était calculé pour me faire fondre, tour étais rythmé par l’envie et l’excitation.
Je le voulais, je voulais faire ma première fois avec lui là maintenant. On entendais plus de bruit, tout le monde dormait.
De nouveau des câlins, mais cette fois de personne normalement amoureuse. Il avait son bras sous ma tête j’avais le mien autour de lui, nos pieds se touchaient s’entrechoquaient.
"Ça va?
-Oui
-Tu as froid?
-Non, je suis bien"
Il se souciait de comment j’étais.
On c’est endormis comme ça enfin, on a pas dormit. On a parlé des cours, de choses et d’autres. On a fait connaissance quoi, plus connaissance je veux dire.

Papa est venu me chercher et a mit fin.
Patou m’a fait la bise, lentement comme pour profiter de chaque instant.
J’ai encore les lèvres gercées, j’ai un peu mal à l’entre jambe (Il y allait fort parfois) mais le mieux. C’est qu’il a laissé son putain de parfum.