N'effaçons rien.
Mon précédent écrit n’est pas complet. Je voulais d’abord écrire la soirée " drame " de samedi dernier et du coup, j’en ai oublié la chose.
Feu… Quel garçon compliqué, quelle relation ambiguë que j’entretiens avec lui. Couteau, en LS, lui a dit que j’étais souvent triste qu’il me passait la plupart du temps devant sans me saluer, du coup, maintenant, c’est toujours lui qui vient, avec son sourire de charmeur, et sa bise parfumée. Mardi, en allemand, j’étais triste de mon amitié quasi brisée avec Mé. et de plus, j’étais fatigué et énervé, j’avais donc ma tête sur ma main gauche et ma main droite serrée en poing. Feu a entouré mon poing de ses deux mains et l’a serré fort. Au début, j’essayais de me retirer, mais il tenait bon, alors je me suis laissé faire. Il m’a caressé tendrement les cheveux. J’ai senti des papillons dans le ventre, et je me suis détesté de ressentir sa. Vendredi, j’ai craqué, et il me regardait avec des yeux pleins de tendresse et de tristesse. J’étais dégouté qu’il m’est vu pleuré. Mais au plus profond de moi, même si je le cache, je sais très bien que notre relation n’est pas comme je la voie.